Pendant trente ans, j’ai effectué, disons-le, un travail de dernière ligne.
Mon grand-père Omer Landreville avait ouvert un salon funéraire que mon père a repris. C’était un salon à l’ancienne mode, au rez-de-chaussée de la maison, alors que ma famille et moi habitions l’étage. J’ai vite appris le métier.
Après avoir accompagné des milliers de familles endeuillées, j’ai maintenant envie d’être porteur de flamme.
Bienvenue chez le Grand Fanal!